La famille a une place centrale dans la culture Haïsrandher. Les aînés sont respectés et les valides font tout pour subvenir aux besoins de la famille.
Naissance et vieillesseLa mortalité infantile est très élevée en Skania à cause des savoirs médicaux limités et de la pollution ambiante. Chaque famille a entre deux et trois enfants. Une fois les premières années passées, les Haïsrandhers ont une très bonne espérance de vie. Cependant, la violence de la vie en Skania provoque de nombreuses morts prématurés. La plupart des kriegers meurent au combat, et les paysans succombent plus souvent à une maladie virulente, une attaque de fées ou un raid plutôt que de vieillesse. Seuls les plus tenaces atteignent une soixantaine d’année.
ToléranceIl n’y a pas de distinction entre hommes et femmes. Ce qui compte, c’est la force. Ainsi, certaines femmes se sont hissées au rang de Hauldr.
Rare héritage de l’Hier, et résultat d’une certaine désinvolture à ce sujet, il existe en Skania une très grande tolérance sur l’orientation sexuelle. L’homophobie est rare en Skania, au même titre que le sexisme. Les discriminations se font sur la force physique, l’habilité au combat, la beauté.
Le mariageLa tradition ancestrale voudrait que les différents concurrents pour obtenir la main d’une femme s’affrontent à mort dans des duels. Le dernier survivant offre ensuite les cœurs des vaincus à la femme qu’il compte épouser. Le mariage est officialisé devant un chaman, croquant un bout de cœur puis embrassant le front des mariés avant de consumer les cœurs selon la manière choisie par le couple : via le feu, l’eau, la terre, ou l’air.
Cette tradition n’est plus suivie à la lettre depuis de nombreuses années. Mais la coutume veut que la personne qui fait la demande en mariage ramène à sa promise un cœur pour la cérémonie. Le plus souvent, c’est un cœur de mouton ou de brebis qui est employé, mais certains intrépides apporte un cœur de loup, d’ours, voire de fée.
Les nomsChaque enfant obtient à sa naissance un prénom. De plus, le nourrisson hérite du nom de sa famille – lorsque cette dernière en a un. En effet, ce sont surtout les nobles qui suivent cette tradition pour la pérennité de leur lignée. Mais la coutume la plus répandue est de se présenter en donnant le prénom d’un de ses parents suivi d’un suffixe. Pour les hommes, ils reprennent le nom de leur père en rajoutant « son » à la fin. Pour les femmes, c’est le nom de la mère qui est repris avec « dottir » en suffixe.
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